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immigration afro musulmane - Page 3

  • L'islamologue Tariq Ramadan traite d'islamophobe ceux qui dénoncent les dangers de l' islam ! Il est par ailleurs accusé de viol par deux femmes en France ...

    Mercredi 31 janvier 2018, l'islamologue suisse Tariq Ramadan, accusé de viol par deux femmes en France et d'abus sexuel sur des mineures en Suisse, a été placé en garde à vue par les enquêteurs de la police judiciaire parisienne dans le cadre de l'enquête préliminaire ouverte à Paris des chefs de « viol, agression sexuelle, violences et menaces de mort » à l’endroit de deux femmes qui l’accusent de les avoir violées en 2009 et en 2012. Parmi ces deux femmes, Henda Ayari, ancienne salafiste devenue militante féministe et laïque.

    Tariq Ramadan, dont le père fut une figure emblématique des « Frères musulmans » et le grand-père, fondateur de cette organisation islamique sunnite, est né en 1962 en Suisse. Considéré comme une « superstar de l'islam européen moderne », il donne, depuis 1992, des conférences en France sous l’égide de l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF) dont il est le prédicateur attitré. Son frère, Hani Ramadan, dirige le Centre islamique de Genève. Il s'est fait connaître après avoir publié dans Le Monde un article sur la charia où il dit de la lapidation qu'« elle constitue une punition, mais aussi une forme de purification ».

    Pour la bonne compréhension, rappelons que l’UOIF est classée comme organisation terroriste par plusieurs pays et qu’elle est associée aux Frères Musulmans dont les liens avec les Salafistes sont avérés.

    En France, elle sévit en toute quiétude et invite régulièrement dans ses mosquées ou lors de ses rassemblements des imams ou des prédicateurs haineux, alternant pour certains entre complotisme, antisémitisme et propos ambigus sur le djihad… ce qui fit dire à Al-Deeb, palestinien suisse, professeur des universités : « Il faut combattre l’idéologie mortifère de l’islam non pas en Syrie et en Irak, mais ici, en Occident, et exiger une refonte en profondeur de cette religion. La formation des imans doit se conformer aux Droits de l’Homme ».

    Le 7 février 2016 eut lieu à Lille la neuvième Rencontre annuelle des musulmans du Nord (RAMN) organisée par l'UOIF. A cette occasion, devant un public de 3000 personnes -dont de nombreuses femmes voilées et une poignée de barbus portant le qamis (tenue du prophète)- le théologien musulman, Tariq Ramadan, harangua ses fidèles en ces termes :

    « Ceux qui pensent que ce qui a trait à notre citoyenneté est uniquement lié à ce qui se passe à l'intérieur des frontières nationales se trompent. Il y a une relation très claire entre la question nationale et la question internationale»… avant d’asséner : « La France est une culture maintenant musulmane. L'islam est une religion française. La langue française est une langue de l'islam. Vous avez la capacité culturelle de faire que la culture française soit considérée comme une culture musulmane parmi les cultures musulmanes ».

    Il rejoignait en cela la vision planétaire du « Frère Musulman », Mohamed Louizi, qui avait déclaré au FigaroVox :

    « De l'individu, il faut former le foyer musulman, puis le peuple musulman, puis atteindre le gouvernement islamiste, puis établir le califat, puis reconquérir l'Occident puis atteindre le Tamkine planétaire.»… (Le Tamkine est le nom d'un projet de conquête du monde par l’organisation dite des Frères Musulmans).

    Tarik Ramadan –prisé par les intellectuels islamo gauchisants- est également membre de l’Union mondiale des savants musulmans (UMSM), une organisation mentionnée –comme l’UOIF- sur la liste des organisations terroristes.

    L’UMSM est dirigée par le sulfureux théologien des Frères Musulmans : Youssef Al Qaradawi, recherché par Interpol. C’est un « savant » antisémite, homophobe, auteur d’une fatwa encourageant à mener des attentats suicide.

    Fidèle à la stratégie frériste qui consiste à s'appuyer sur la jeunesse, Tariq Ramadan s'est, lors de cette neuvième rencontre annuelle des musulmans du Nord, adressé prioritairement à cette jeunesse. Surfant sur le sentiment victimaire des jeunes de banlieue, il a défini l'Islam comme la religion de « tous les opprimés », aussi bien ceux des « cités française » que ceux de « l'Afrique ou de la Palestine ». Pour conclure, il a exhorté les Musulmans à prendre leurs responsabilités. « Tout ce que j'ai dit est dangereux pour ceux qui aimeraient qu'on continue à se penser comme bénis-oui-oui minoritaires… la France a un grand besoin de renouveau de sa classe politique ».

    Une nouvelle fois, nous le constatons lors de cette réunion, l’argument sensible de la « misère arabe » exploité par ce genre de faux prophète est privilégié… L’Orient-Le Jour note que « Tariq Ramadan s'est mué en monstre médiatique capable de salves verbales mémorables à la télévision face à ses nombreux détracteurs, brandissant son joker fétiche, celui de victime, lorsqu'il se trouve à court d'argument. […] Quiconque s'attaque à sa personne est en pratique automatiquement taxé d'être islamophobe »… ce que confirme l’archevêque hongrois, Gyula Márfi, qui, dans sa conférence de presse sur le thème « Problème démographique du bassin méditerranéen aux 19e et 20e siècles », du 28 avril 2016, rejetait cette argumentation fallacieuse et par trop simpliste voulant faire de l’islam la religion de « tous les opprimés »…

  • Rennes : Malgré le chômage de masse, Sciences Po scolarise prioritairement des clandestins afin de leur « ouvrir le marché de l’emploi » !

     

     

    Conformément à sa politique agressive de remplacement de la population bretonne par des masses du tiers-monde, le gouvernement français, via l’Institut d’études politiques de Rennes, a ouvert une promotion spécialement dédiée aux migrants clandestins musulmans !

    Russia Today (source) :

    23 migrants ont rejoint les bancs de Sciences Po Rennes après l’ouverture d’une promotion qui leur a été spécifiquement dédiée. Les élèves migrants suivent ainsi depuis le 30 janvier un parcours très différent de celui de leurs camarades. En effet, le cursus porte essentiellement sur l’apprentissage de la langue française afin de leur permettre une meilleure intégration dans le monde du travail. Cette promotion est ouverte exclusivement aux migrants titulaires d’un diplôme du baccalauréat.

    On notera que malgré les plus de 200,000 chômeurs en Bretagne, la priorité pour Paris est d’accorder quantités de facilités aux allogènes venus coloniser la terre bretonne.

     

  • Sauf changement, les Blancs minoritaires d’ici 2060 en France avec 30 millions de musulmans..

    France : Sauf changement, les Blancs minoritaires d’ci 2060 avec près de 30 millions de musulmans

     
     
     
     

     

    (source) :

    Si l’on ajoute les deux générations (immigrés et enfants d’immigés), cela donne un total de 13,5 millions, soit 20,4 % de la population. On a donc un peu plus d’un habitant sur cinq d’origine étrangère sur deux générations en 2015. On aimerait, ce qui n’est pas bien difficile à faire, que l’Insee donne la même information sur la France métropolitaine, pour laquelle j’ai fait trois estimations plus anciennes (1986, 1999, 2011), ce qui permettrait de donner une idée de l’évolution. Si l’on ramène les chiffres de l’Insee à la France métropolitaine, on a, à peu près, 13,2 millions de personnes d’origine étrangère sur deux générations (soit 20,5 %), à comparer à 12,1 millions quatre ans plus tôt et 9,8 millions en 1999, soit 19,2 % en 2011 et 16,8 % en 1999. La population d’origine étrangère sur deux générations aurait donc augmenté de 9 % entre 2011 et 2015, contre 2,6 ‰ seulement pour les natifs au carré.
    Ce premier constat appelle plusieurs remarques.

    En premier lieu, toutes les personnes considérées comme immigrées – nées de parents nés à l’étranger – ne sont pas nécessairement d’origine extra-européenne. Un certain nombre d’entre eux proviennent d’autres pays européens.

    Ces chiffres ensuite n’intègrent pas les 3ème et 4ème générations d’immigrés, une lacune importante. Ils ne comportent pas non plus les migrants extra-européens des possessions coloniales françaises des Antilles, de Polynésie ou de Nouvelle Calédonie et d’ailleurs.

    En outre, les chiffres officiels, par nature réalisés avec l’aval du gouvernement, ont une fiabilité relative en raison de leur dimension politique.

    8,5 millions de musulmans en France déjà en 2016

    L’expert des migrations Jean-Paul Gourévitch, moins réservé que son homologue Michèle Tribalat, a dressé un portrait assez net de la situation ethnique et religieuse de la démographie hexagonale. En 2016, il rapportait la présence en France de 8,5 millions de musulmans, pratiquants réguliers ou non (source). Soit 12% des 66 millions de personnes recensées dans le pays en 2016.

    Sur ces 8,5 millions de musulmans, environ 4 millions forment le socle des pratiquants dont 150,000 adhéreraient à l’islam radical. Un chiffre à mettre en perspective avec les 19,000 activistes proches du djihadisme recensés par le gouvernement français (source).

    Au moins 12 millions d’extra-Européens en France en 2017

    Point important à rappeler : tous les migrants extra-européens ne sont pas musulmans même si ces derniers en représentent la majorité. Nombre de migrants extra-européens sont également des sub-sahariens ou, plus marginalement, des asiatiques. Il faut donc recouper les chiffres disponibles pour avoir un panorama de la démographie non blanche en France, qu’elle soit musulmane ou non.

    Le nombre d’immigrés illégaux est évalué à 550,000 par Jean-Paul Gourévitch (source).

    Il faut ajouter le nombre des migrants de l’intérieur. En 2008, Jean-Paul Gourévitch évaluait entre 700,000 et 900,000 les migrants allogènes des DOM-TOM en métropole (source).

    Le nombre d’Asiatiques établis en France est généralement évalué à 1 million (source).

    Le nombre de migrants d’Afrique Noire non-musulmans – chrétiens ou animistes – est difficilement chiffrable même si le nombre de noirs était évalué, toutes origines confondues, à 3 millions en 2008 par Jean-Paul Gourévitch.

    La France compte donc au moins 11 millions d’extra-Européens dont 8,5 sont musulmans. Chiffre auquel il faut encore ajouter les subsahariens non-musulmans dont le nombre peut se situer entre 1 et 2 millions.

    L’augmentation de la population française exclusivement due à l’immigration

    La question que les lecteurs se poseront a trait à l’évolution future de la composition raciale du peuplement de l’Hexagone.

    C’est bel et bien l’immigration qui explique la croissance de la démographie française, laquelle est passée de 50 millions en 1970 à 67 millions en 2017 – malgré un taux de natalité officiel inférieur à 2, soit celui du simple maintien de la population.

    Puisque l’on sait qu’au début des années 70, la France comptait 1,3 millions d’extra-Européens en France (source) – ce qui était déjà énorme – on peut estimer que l’essentiel des 17 millions d’habitants supplémentaires qu’a reçu la France depuis 1975 sont d’origine immigrée dont une large part – les 12 millions d’extra-Européens précités – forment la majorité.

    Une fois cette composition raciale à l’esprit, on comprend que le dynamisme français repose essentiellement sur le natalisme des populations non-blanches.

    C’est le dépistage de la drépanocytose chez les nouveaux-nés en France qui en offre la meilleure indication. Celui-ci, limité aux asiatiques, africains et orientaux donne une idée assez précise du futur racial de la France.

    En 2016, près de 40% du total des naissances en France était d’origine extra-européenne. Cela représente 300,000 des 776,000 naissances qui ont été recensées en France (source).Tous les 3 ans, c’est donc près d’un million d’extra-Européens supplémentaires qui naissent en France quand le nombre de naissances européennes s’érode.

    30 millions d’extra-Européens en France en 2050

    Quatre facteurs permettent d’avoir une idée des évolutions futures.

    Premièrement, l’intensification de l’immigration extra-européenne, avec par exemple plus de 400,000 visas délivrés pour la seule Algérie depuis plusieurs années (source). Ce à quoi il faut ajouter l’immigration illégale.

    Deuxièmement, la faible natalité des autochtones qui permet, en termes relatifs, à la natalité non-blanche de croître proportionnellement.

    Troisièmement, le dynamisme démographique africain, maghrébin et turc en France.

    Quatrième, le départ des jeunes autochtones évalués à 86,000 par an (source). Une réalité d’autant plus dramatique qu’ils sont qualifiés et formés tandis que les nouveaux venus ne le sont pas.

    Sur la base des chiffres actuels, la France voit donc le nombre d’immigrés ou d’individus d’origine immigrés extra-européens augmenter de 600,000 environ par an quand, dans le même temps, le nombre de Français européens, notamment les jeunes, baisse de près de 90,000 par an.

    Sur dix ans, la France accueille 6 millions d’extra-Européens quand elle perd environ 900,000 Français de souche européenne.

    Dans 30 ans, au rythme actuel, la France de 2047 devrait compter  30 millions d’extra-Européens – 18 millions en plus des 12 millions actuels – pour 52 millions de Français de souche européenne. Ces derniers étant passés de 55 millions à 52 millions en raison de l’émigration blanche.

    Soit 36% du total.

    Pour ceux qui douteraient de cette possibilité, rappelons que sur 40 ans – entre 1975 et 2015 – le nombre d’extra-Européens est passé de 1,3 à 12 millions.

    21 millions de musulmans d’ici 2047

    Sur cette base, la France devrait être peuplée par 21 millions de musulmans, soit un peu plus du double de leur nombre actuel.

    Virtuellement, la France serait à majorité non-blanche d’ici à 2067 – 42 millions d’extra-Européens pour 42 millions de Français de souche européenne – et musulmane 30 ans plus tard, en sachant que leur nombre augmenterait de 4 millions tous les dix ans entre 2067 et 2097 et qu’ils seraient près de 30 millions dès 2067.

    Ces projections se basent bien sûr sur les tendances actuelles, tendances qui sont par définition changeantes. Mais la démographique africaine et musulmane, au 21ème siècle, ira en augmentant considérablement avec 4 milliards d’Africains d’ici à 2050...